Environ 19 % du budget de Rio 2016 ont été investis dans les technologies et 13 % dans les projets d’infrastructure. Voici quelques chiffres des moyens mis en œuvre.
- Embratel, opérateur télécom brésilien, partenaire de l’événement, a déployé un réseau de fibre optique de 370 km
- Cisco a fourni près de 77 tonnes de matériel.
- Du tir à l’arc à la lutte, en passant par le rugby, Atos a fourni une infrastructure informatique complète pour 37 lieux de compétitions, permettant la tenue des épreuves en temps et en heure.
- Plus de 100 millions de messages envoyés en temps réel aux diffuseurs du monde entier pour partager les résultats et données de 42 sports olympiques et 306 compétitions (+ 40% par rapport à Londres).
- Fait notable, le Cloud a été employé pour la première fois dans des Jeux olympiques d’été. « Rio 2016 a marqué une transition importante dans la transformation numérique des Jeux olympiques, puisque pour la première fois, le Cloud a été employé durant des Jeux d’été pour des applications clés, dont la gestion de plus de 300 000 accréditations pour toute la famille olympique », confie Elly Resende, directeur technique de Rio 2016. Le Cloud a servi aussi à héberger le portail des volontaires ainsi que le système de main-d’œuvre. A la clé, une réduction des coûts et une amélioration de l’efficacité et de la flexibilité du suivi et de l’analyse des données gérées en temps réel.
- 250 serveurs ont été utilisés, soit 75 % de moins qu’en 2012
- On terminera cette liste en indiquant que 400 événements de sécurité informatique par seconde ont dû être gérés en temps réel (contre 200/s aux jeux de Londres).
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