A partir de 2023, toutes les entreprises du secteur privé auront pour obligation d’accepter les factures au format électronique. Sur ce marché de l’e-facturation ou e-invoicing en anglais, le cabinet d’audit et de conseil KPMG France est convaincu qu’il peut combiner son expertise au savoir-faire technologique d’Esker, éditeur français connu dans le Procure-to-Pay et l’Order-to-Cash.
« La facturation électronique obligatoire se traduit d’ores et déjà par une prise de conscience des sociétés. Ces dernières se rendent compte que cette échéance nécessite d’élaborer un plan d’action solide car ce sujet va générer des changements significatifs non seulement au niveau du système d’information mais aussi en termes de processus et de conformité fiscale. Face à cette échéance importante, KPMG France et Esker travaillent de concert pour définir les meilleurs processus afin d’assurer un accompagnement d’excellence auprès des entreprises », explique Julie Tarbé de Saint Hardouin, Associée KPMG France, spécialisée en conseil des directions financières.
Une obligation qui s’étalera de 2023 à 2025
Cette facturation électronique, imposée par la loi de Finances 2020, vise principalement à lutter contre la fraude fiscale, à réduire les délais de paiement et à simplifier les déclarations de TVA grâce au pré-remplissage en ligne. Elle deviendra obligatoire en France pour toutes les entreprises assujetties à la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) entre le 1er janvier 2023 et le 1er janvier 2025. Les grandes entreprises ouvriront le bal en 2023, puis les ETI en 2024, enfin les PME et TPE en 2025, Mais une obligation de réception de la facture électronique pour l’ensemble des entreprises se fera dès 2023.