Organiser la capture des données non structurées, tel est l’objectif du nouvel outil conçu par le fabricant américain d’imprimantes.
« Un agent de sécurité arrivé sur le lieu où un vol a été signalé exécute une application sur son smartphone et accède instantanément à son dossier en cours. Une fois celui-ci ouvert, une liste des éléments à recueillir s’affiche et l’agent constate qu’il ne manque qu’un élément : une preuve en photo. Directement depuis la liste, il sélectionne cet élément, puis prend une photo qui est automatiquement enregistrée en tant que preuve dans le bon dossier. Lorsque toutes les informations nécessaires ont été collectées, ce dossier passe automatiquement en traitement ». Voilà un exemple de scénario fourni par Lexmark pour illustrer les capacités de sa nouvelle offre Perceptive Checklist Capture. Elle permet de capturer des contenus sur PC, terminal mobile ou multifonction. Cette solution logicielle vise à rationaliser la capture de contenu en facilitant le classement et le référencement des données. Sur le terrain, les utilisateurs de l’outil peuvent prendre des photos et capturer des contenus avec leur smartphone ou leur tablette, ou bien numériser des documents ou encore capturer des fichiers sur un poste de travail afin de les inclure immédiatement dans un projet ou les classer dans un dossier.
A partir d’une interface identique quel que soit le terminal utilisé, les contenus sont actualisés en temps réel. Le système lance une alerte dès qu’un document est manquant ou incomplet ; l’information est délivrée sur le SI de l’utilisateur tandis que le document est stocké dans un référentiel central pour pouvoir être retrouvé rapidement. Selon Lexmark, de nombreux secteurs d’industrie pourraient tirer profit de la solution : la grande distribution (gestion d’incident) ; l’administration (assistance publique) ; la banque (ouverture automatisée de compte ou d’emprunt) ; les assurances (déclaration de sinistre) ; le back office (gestion de dossiers RH) ; l‘industrie (gestion des documents logistiques) ou encore l’enseignement supérieur (services des inscriptions).