Les travaux de l’ANSM se font de plus en plus de manière dématérialisée, et leur archivage électronique représente un enjeu croissant, avec plus de 10 téraoctets de données à terme.
L’agence a pour mission d’évaluer les risques sanitaires des médicaments et produits de santé destinés à l’être humain, et joue un rôle prépondérant dans leur autorisation de mise sur le marché. Elle constitue également l’autorité unique en matière de régulation des recherches biomédicales. Elle compte environ 1 000 salariés auxquels s’ajoutent 2 000 experts réguliers ou occasionnels.
Avec plus de 10 téraoctets de données à terme, l’achivage des travaux de l’ANSM, qui se font de plus en plus de manière dématérialisée, représente un enjeu majeur. Il lui faut mettre en place un process et une organisation permettant de récupérer l’historique et l’ensemble des flux récurrents d’archives ainsi que leurs métadonnées, afin de les archiver de manière fiable et pérenne au sein d’un SAE.
La mission est confiée à Novarchive, qui a remporté l’appel d’offres en mai dernier, pour la gestion et l’hébergement de l’ensemble des archives électroniques. Novarchive était déjà en charge de la gestion des archives papier de l’ANSM depuis plus de 10 ans. Avec le logiciel SAE Novadoc, l’agence a la possibilité de gérer l’ensemble de ses archives papier et électronique via un outil unique et un moteur de recherche commun.
Novarchive possède une double certification ISO 9001 et NF Z40-350, et a l’agrément des Archives de France (SIAF) pour la conservation des archives papier et électroniques des institutions publiques. La société est également conforme à la norme NF Z42-013 sur l’archivage électronique.