Par Jean-François Hugon, Head of Marketing, EBRC
Incontestablement, le secteur financier traditionnel s’organise pour opérer sa transformation numérique dans une compétition lancée à un rythme effréné par les FinTechs qui réinventent processus et nouveaux modes d’usages autant en B2B qu’en B2C. Dans cette période de profondes mutations digitales ce sont également les questions de la protection des données qui amènent à faire bouger les lignes actuelles avec des risques IT plus nombreux ayant des impacts plus forts pour les entreprises et une règlementation plus soucieuse du citoyen avec le RGPD.
En complément de ces premiers éléments, s’ajoutent des sources d’inquiétude au niveau de l’Union Européenne, engendrées par le Brexit entrainant de fortes turbulences, particulièrement auprès des acteurs qui évoluent dans le domaine de la finance, et notamment de ces entreprises à la croissance ultra-rapide que sont les FinTechs.
Une recherche de stabilité et d’expertise technologique
Certains pays déjà attractifs sur la connaissance des métiers (banque, finance, assurance…) ont décidé de muer en véritables places de marché dédiées à l’hébergement de systèmes, applications et plateformes à forte valeur ajoutée. Le Luxembourg fait incontestablement partie de ces pays et a su investir massivement, il y a plus de dix ans, pour s’imposer désormais comme l’acteur phare sur le marché européen.
Lire l’article complet