FIC – Le grossiste Exclusive Networks s’allie avec des spécialistes de la cybersécurité et de la formation afin d’encourager le secteur à prendre des mesures pour résoudre la crise de recrutement. Selon ses estimations, il manque actuellement 2,7 millions de personnes dans la cybersécurité.
Exclusive Networks, un grossiste IT européen spécialisé dans les réseaux sécurisés dont le siège se trouve à Paris, annonce au salon FIC 2022 qu’il lance des initiatives pour lutter contre le manque de compétences en cybersécurité.
En Europe, Exclusive s’est associée à Guardia pour lancer une académie de cybersécurité privée en France. Elle aidera à la production de contenus didactiques et fournira un mentorat et des opportunités de stage aux étudiants. Exclusive est également devenue récemment membre consultatif de la Coalition pour la cybersécurité en Belgique, qui est un partenariat entre le monde universitaire, les autorités publiques et le secteur privé, visant au partage de l’expertise, de la connaissance et des informations dans la lutte contre la cybercriminalité.
Aux Etats-Unis, Exclusive Networks apporte aussi son soutien à une initiative lancée par le cabinet d’investissement et de conseil NightDragon et Next Gen Cyber Talent, un organisme de formation cyber sans but lucratif. Elle vise à lever 1 million de $ afin de financer des cours de cybersécurité pour des étudiants aux Etats-Unis issus de la diversité ou d’un milieu défavorisé. Exclusive apportera a noué récemment un partenariat avec la California Polytechnic State University et ouvert un bureau sur le campus. Elle parraine actuellement 12 étudiants, dont 9 ont déjà entamé leur cursus de certification en sécurité, assuré par elle-même et ses partenaires.
Jesper Trolle, directeur général d’Exclusive Networks, a déclaré : « Nous sommes activement impliqués dans un certain nombre d’initiatives similaires à travers le monde et celle-ci est un autre bel exemple de programme qui agit directement pour résoudre le problème des cyber-compétences. Il est temps que le secteur passe de la parole aux actes si nous voulons combler le manque de cyber-compétences dans un futur proche. Nous devons également chercher des réponses au-delà de la réserve de talents traditionnelle et attirer des candidats plus divers, mal servis et sous-représentés, et j’applaudis cette initiative qui va dans ce sens. »