Accueil Etudes E-commerce : Les Français ne veulent pas transiger entre liberté et sécurité

E-commerce : Les Français ne veulent pas transiger entre liberté et sécurité

Les résultats d’une vaste enquête internationale réalisée auprès de 20 000 consommateurs révèlent leurs préférences en matière de commodité, de confidentialité et de sécurité lorsqu’ils interagissent en ligne et gèrent leur identité numérique. Ces conclusions ont des implications importantes pour les marques.

Une enquête réalisée par Statista pour le compte d’Okta a interrogé 21 512 consommateurs entre août 2022 et février 2023 dans 14 pays, à savoir le Royaume-Uni, l’Allemagne, la France, les Pays-Bas, la Suède, l’Irlande, l’Espagne, l’Italie, la Suisse, les États-Unis, le Canada, l’Australie, le Japon et la Corée du Sud. Cette étude met en évidence les préférences des consommateurs en matière de commodité, de confidentialité et de sécurité, ainsi que les implications de ces résultats pour les marques.

En voici les principaux enseignements concernant les consommateurs français de ce rapport :

  • 60 % des consommateurs français seraient plus enclins à dépenser auprès de marques proposant des expériences d’identification simples, sécurisées et sans friction.
  • Près d’un Français sur 5 a réinitialisé son mot de passe plus de 6 fois au cours des 6 derniers mois.
  • Plus de 60 % des Français tiennent compte de l’approche des marques en matière de changement climatique avant d’acheter un produit ou un service.
  • 78 % des répondants français accordent de l’importance au contrôle qu’elles exercent sur leurs données.
  • « On n’est jamais mieux servi que par soi-même » : les Français estiment qu’ils sont la meilleure option pour protéger leurs données personnelles. Mais ils sont 45 % à reconnaître qu’ils pourraient faire mieux pour les sécuriser.
  • Le portefeuille numérique se généralise : plus d’un Français sur quatre (27 %) en utilise déjà un et 58 % des Français interrogés auraient un portefeuille numérique si leurs identifiants financiers, médicaux et administratifs restaient séparés.