Communiqué
Alors que le télétravail semble aujourd’hui être devenu la règle, un outil a su tirer son épingle du jeu : la digital workplace.
Rencontre avec Guillaume Poumadé, responsable communication chez Jamespot, 1er éditeur de solutions collaboratives dans le cloud.
Pouvez-vous préciser ce que Jamespot entend par digital workplace ?
Guillaume Poumadé : Avant de préciser ce que Jamespot entend par digital workplace, revenons sur la définition de cette dernière. Aujourd’hui, la digital workplace peut se définir comme l’environnement numérique de travail regroupant tout l’écosystème digital de l’organisation. Elle repose sur 3 piliers fondamentaux : l’information, les applications et les personnes. De façon générale, le projet est souvent porté par l’organisation, mais il arrive aussi de voir des projets portés par des responsables d’équipes dans une logique de performance et de productivité.
Chez Jamespot, nous sommes alignés avec cette vision, à la différence que nous avons mis un point d’honneur pour faire en sorte que chacun puisse se retrouver dans la digital workplace. Au-delà de la dimension organisationnelle, nous avons ajouté deux autres dimensions : celle des équipes et celle du collaborateur lui-même. Un manager pourra créer ses propres espaces (ses “desks”) pour lui et son équipe, avec les applications métiers adaptées aux besoins de celle-ci… Un collaborateur pourra quant à lui faire de même en créant ses propres desks privés, selon ses besoins professionnels.
Ces deux dimensions permettent aux utilisateurs finaux de s’approprier pleinement l’outil par la création de leurs propres espaces et d’en booster l’usage sur le long terme.
« Nous avons au sein de notre digital workplace plus de 100 applications métiers. Certaines de ces applications peuvent aisément remplacer ou compléter des grands noms du logiciel. »
Guillaume Poumadé
Dans une situation de télétravail, comment collaborer de manière efficace ?
GP : Quelle que soit la situation, dès lors que l’on sort du cadre du présentiel, la digital workplace prend tout son sens. Elle (re)met à plat de nombreuses choses. Fini les applications utilisées par les uns mais pas par les autres, fini les documents disponibles pour une partie des équipes… La digital workplace met à la disposition de chacun un référentiel commun permettant de collaborer et de partager de l’information plus facilement.
D’ailleurs, un module tire son épingle du jeu quand on nous pose la question de la collaboration “efficace” : la messagerie d’équipes !
Elle permet d’avoir accès plus rapidement aux collaborateurs et d’accélérer les échanges et les prises de décision. En un clic, un document peut être partagé, un sondage de dates posé, une enquête menée, une visioconférence animée…
Dès lors que nous ne sommes pas dans une logique de centralisation de l’information, il est plus judicieux d’utiliser les messageries d’équipes pour accélérer la collaboration.
Vers quel outil faut-il se tourner, une solution tout-en-un ou un assemblage de modules ?
GP : Chez Jamespot, nous sommes persuadés que ce sont les usages qui déterminent l’outil ! Trouver une solution tout-en-un relève probablement de l’utopie. Il va donc falloir composer avec une solution capable d’intégrer des modules tiers.
Prenons l’exemple de Jamespot. Nous avons au sein de notre digital workplace plus de 100 applications métiers. Certaines de ces applications peuvent aisément remplacer des grands noms du logiciel. Toutefois, nous laissons à nos utilisateurs le choix. Ils peuvent basculer ou non d’une application X vers son équivalent sur Jamespot. En laissant pleinement le choix à l’utilisateur, nous sommes sûrs de faire en sorte qu’il s’approprie la solution.
Aujourd’hui, nombreuses sont les organisations qui hésitent entre Jamespot, Microsoft 365 et Google Workplace. Sur cette dimension, nous pouvons dire sans rougir que Jamespot est en capacité de les remplacer ou de compléter leurs offres pour les améliorer en ajoutant une dimension métier à la digital workplace.
Quels sont les éventuels freins à l’adoption d’une digital workplace et comment aidez-vous vos clients à les surmonter ?
GP : Le principal frein reste la résistance au changement. Mettre en place une digital workplace va bousculer les habitudes des collaborateurs. Dans certains cas, un logiciel utilisé depuis des années va être remplacé par une application équivalente sur la digital workplace.
Il faut donc accompagner les utilisateurs, prendre en compte leurs remontées et travailler main dans la main avec le prestataire retenu pour faire en sorte que le projet réussisse.
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