Après une longue réorganisation, le constructeur français propose une offre de matériels, de logiciels ou d'hébergement qui lui permet de renouer avec la croissance.
Oubliez toutes les idées préconçues. Bull se porte bien et envisage l’avenir avec sérénité. “En 2009, notre croissance a dépassé toutes nos prévisions alors que la plupart des SSII et des constructeurs de matériels ont enregistré des résultats négatifs. Nous avons tenu nos objectifs, se réjouit Jean-Pierrre Barberis, directeur général de Bull. Il est vrai qu’avec un chiffre d’affaires 2009 de 1 110 millions d’Euros et une évolution de 100 millions d’Euros au premier trimestre 2010, le français est en bonne posture. Il faut dire qu’il a entamé une véritable révolution culturelle qui lui permet de couvrir la plupart des segments en pointe de l’informatique. Fabrication de machines, qui fonctionnent désormais avec des processeurs Intel, développement logiciel avec le serveur d’applications Jonas, infogérance, hébergements critiques, services, Bull est partout.