- Avec Open Storage, Planet-Work passe au serveur virtuel
- gcs21-intro_tendances-2
- gcs21-intro_tendances-2
- gcs21-intro_tendances-2
- gcs21-intro_tendances-2
- 05/10/2021 État des ransomwares 2021 - LB Sophos
L'hébergeur français Planet-Work va dans les prochaines semaines bouleverser l'ensemble de son infrastructure de stockage et serveur sans pour autant perturber ses 3000 clients. La solution Sun Open Storage aura pour mission de supporter l'ensemble du stockage et du trafic réseau des serveurs infogérés. Frédéric Vannière, directeur technique de Planet-Work revient sur ce projet stratégique.
La gestion d’un Datacenter n’est pas une sinécure. “La gestion et le maintien d’un Datacenter reviennent de plus en plus cher, le coût de l’électricité augmente avec la nouvelle grille tarifaire. Il faut aussi considérer la sécurité des serveurs, des données” , précise Frédéric Vannière. L’infrastructure actuelle pose aussi un problème car si le serveur (Xen) tombe, la production s’arrête. Il fallait donc investir dans un nouveau modèle de sécurité et de flexibilité serveur. Actuellement sur les 3000 clients, 150 sont sur des serveurs infogérés. Tout le reste est une infrastructure mutualisée.
“Chez nous ce projet existe depuis longtemps. L’objectif est de virtualiser tous nos serveurs. Nous avons alors regardé les différentes offres du marché. Mais des solutions comme EMC ou NetApp ont un coût trop élevé pour une société comme Planet-Work. Nous avons alors opté pour Sun Open Storage.” explique F. Vannière. “Le but est de basculer en machine virtuelle. Pour la mise en production, l’infrastructure est calibrée pour 100 à 150 serveurs mais l’objectif est de monter à 500 ou 600 machines virtuelles” commente-t-il.
Avant d’acheter Open Storage, l’hébergeur a voulu tester grandeur nature la baie et les serveurs. Grâce à l’offre “Try and Buy” (essayer et acheter) de Sun, il a éprouvé la solution pendant plusieurs jours.