Peu de fournisseurs Cloud l’annoncent au moment de la signature du contrat, mais l’immense majorité des services n’offrent pas de backup par défaut.
Cette responsabilité revient au client.
Dans son rapport annuel The State Of Cloud In Europe 2022, le cabinet Forrester estime que 92 % des entreprises au Royaume-Uni, en France et en Allemagne utilisent aujourd’hui le Cloud public. La pandémie de Covid a vu un nombre croissant d’entreprises adopter des solutions de productivité, Microsoft 365 en tête. Or rares sont celles à s’être intéressées à la protection de ces données dans le Cloud. Les entreprises font souvent l’erreur de penser que parce qu’une donnée est stockée chez Microsoft, Google ou Amazon Web Services, celles-ci sont nécessairement sécurisées et sauvegardées. Ce n’est pas le cas et la situation est identique pour les applications SaaS, Salesforce.com en tête dont les données ne sont pas protégées… un comble pour des applications qui sont devenues critiques pour le fonctionnement même des entreprises.
La règle du 3-2-1 doit être appliquée
La stratégie du 3-2-1 doit rester la règle : il faut disposer de 3 copies pour chaque donnée sur au moins 2 supports différents et une sauvegarde sur un site distinct. La solution la plus efficace est d’opter pour un service de sauvegarde Cloud to Cloud de type Carbonite qui se connecte directement aux API du service SaaS pour transférer les données à sauvegarder.
Attention toutefois à la couverture réelle de l’offre de backup : une suite comme Microsoft 365 ou Google Workspace intègre de nombreux outils de productivité et il faut opter pour une solution capable de sauvegarder l’intégralité des données et pas uniquement la messagerie. La solution Carbonite Cloud-to-Cloud Backup effectue les sauvegardes de l’intégralité des outils de productivité de Microsoft 365 et de Google Workspace mais aussi les services Dropbox, Box ou encore Salesforce.com. « Un point-clé dont il faut tenir compte dans le choix d’une solution, c’est la granularité avec laquelle on va pouvoir restaurer les données. Il est beaucoup plus efficace de ne restaurer que le site SharePoint du service RH en cas de problème, ou un seul message plutôt que recharger l’intégralité des emails d’un utilisateur. », précise Alexandra Lemarigny, Directrice des ventes pour l’Europe du sud de Carbonite.
Optez pour une architecture de backup hybride performante
Avec Carbonite Cloud-to-Cloud Backup, l’éditeur propose une architecture de sauvegarde de type Disk-to-Disk-to-Cloud (D2D2C) ou backup hybride. L’entreprise dispose de 3 jeux de sauvegardes avec un failover et un failback automatique. Une installation redondante est mise en place sur un site de secours et si un incident majeur sur le site primaire survient, la sauvegarde bascule sur ce deuxième site de manière automatique, sans intervention humaine. Le site de secours devient actif et avec la copie sur le Cloud, l’entreprise dispose toujours de deux points de sauvegarde, ce qui rend la solution extrêmement robuste.
Les solutions Carbonite sauvegardent les données dans le Cloud privé d’OpenText, maison mère de l’éditeur ce qui évite de découvrir en cas d’incident majeur chez un hyperscaler que les backups sont localisés dans le même datacenter que les données. Enfin, l’acquisition de Webroot en 2019 par Opentext / Carbonite est venue encore renforcer la cybersécurité des offres Carbonite dans la lutte contre les malwares et protéger l’un des assets les plus importants des entreprises : les données.
Pour en savoir plus :
www.carbonite.com/cp/intl/fr
« Dans une grande majorité des cas, le client est responsable de la sauvegarde des données qu’il place dans le Cloud. Microsoft préconise dans les conditions de vente de Microsoft 365 que le client doit avoir recours à une solution de sauvegarde tierce.
Carbonite Cloud-to-Cloud Backup répond pleinement à ces nouvelles problématiques engendrées par la progression rapide des usages du Cloud. »
Alexandra Lemarigny, Directrice des ventes pour l’Europe du sud de Carbonite