Positionné sur le marché des services Cloud et services managés en sauvegarde et cybersécurité depuis une dizaine d’années, AntemetA vient de dévoiler une offre particulièrement originale sur le marché des solutions Cloud, avec ce que Stéphane Blanc, président et fondateur d’AntemetA appelle un IaaS on-premise. « NeoStak est le fruit de nos 28 ans d’expérience dans le négoce et la maintenance d’équipements informatiques, puis 10 années de Cloud, les services managés et la cybersécurité. » L’offre se destine tant au Edge Computing qu’à des configurations plus musclées pour permettre aux entreprises de rapatrier des workloads aujourd’hui en production chez les hyperscalers. « Ce mouvement de retour est une réalité aux Etats-Unis et, en France, des clients commencent à rapatrier des données stockées sur AWS S3 sur notre propre service S3 pour des raisons de coût. » Pour le fondateur d’AntemetA, NIS 2 va clairement précipiter ce mouvement de rapatriement à l’échelle de la France et de l’Europe.
A la différence des offres équivalentes des hyperscalers, NeoStak se distingue par sa flexibilité et sa disponibilité dans différentes configurations. Il peut être déployé sur le site client lui-même, dans un datacenter ou même en redondance chez AntemetA, offrant ainsi des options adaptées aux besoins spécifiques de chaque entreprise. Cette flexibilité permet aux clients de choisir l’emplacement et la configuration qui conviennent le mieux à leurs besoins et à leur environnement. « Il s’agit d’une offre on-premise, mais le modèle économique de l’offre est modulable entre Capex et Opex. Le client peut choisir de consommer la solution comme un pur service managé, mais avec des coûts garantis sur toute la durée du contrat de 5 ou 7 ans. Il peut aussi choisir d’acheter la plateforme. » Autre priorité donnée à la création de cette offre, la simplicité. Stéphane Blanc explique sa volonté de faire simple : « Nos clients disposent de moins en moins de ressources humaines pour déployer et administrer les plateformes Edge déployées sur sites. » L’interface vient totalement masquer la complexité de l’administration système.
Un portail simplifié pour piloter les sauvegardes
Si l’activité Cloud CSP d’AntemetA prend de l’ampleur, Stéphane Blanc compte bien rester un leader sur le marché des solutions BaaS (Backup as a Service). Membre du consortium Hexatrust, l’éditeur mise aujourd’hui sur le rapprochement entre la sauvegarde et la cybersécurité. « Avec l’essor du Cloud et des architectures hybrides, la problématique de la sauvegarde s’est complexifiée. Or ce dont les entreprises ont besoin, c’est d’une interface unique qui pilote tous ces logiciels, une interface simple d’où on va gérer et afficher toutes informations relatives aux sauvegardes et à la cybersécurité, tester les restaurations et le plan de reprise d’activité. »
Pour les services Cloud comme pour les sauvegardes, l’heure est à la simplicité d’administration et à l’automatisation des charges pour à la fois faire face aux manque de ressources humaines dans l’IT, mais aussi aux besoin d’agilité et de sécurité exigés par les métiers.
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Stéphane Blanc,
président et fondateur d’AntemetA
« Les mondes de la sauvegarde et de la cyber doivent converger »
« Après une période où on l’a un peu oublié, le backup s’est imposé comme le dernier rempart de la cybersécurité. C’est lui qui assure la résilience de la donnée et qui permet à une entreprise de reconstituer son système d’information lorsque toutes les autres briques de sécurité ont échoué.
Notre conviction est que les mondes de la sauvegarde et de la Cyber doivent converger. L’utilisateur doit pouvoir disposer d’un portail avec ses données de sauvegardes mais aussi des données remontées par le SOC. Toutes les ressources métiers sont taguées précisément car lorsque l’entreprise se fait attaquer, elle doit savoir exactement ce qu’elle doit faire redémarrer en priorité pour que tel ou tel métier puisse reprendre son activité. »
Pour en savoir plus :
www.antemeta.fr