Check Point Software a présenté aujourd'hui SDP (Software-Defined Protection), son architecture de sécurité dont la mission est de protéger les entreprises contre l'évolution rapide des menaces. Entreprises qui utilisent des outils de plus en plus divers (postes de travail classiques, serveurs, smarphones, cloud, etc.), et ont déployé de façon complexe de nombreux points de sécurité (pare-feux, contrôles d’applications, VPN, DdoS, etc.).
« Le paysage des menaces est devenu beaucoup plus sophistiqué et les environnements informatiques des entreprises ont gagné en complexité », analyse Amnon Bar-Lev, président de Check Point Software Technologies. « Les entreprises sont à la recherche de conseils pour se protéger mieux et plus simplement. SDP est l'architecture de sécurité d'aujourd'hui pour les menaces de demain. Elle est simple et flexible, et peut convertir les informations sur les menaces en protections en temps réel. »
Selon Amnon Bar-Lev, il faut donc, au delà des produits de sécurité conçus pour être réactifs et tactiques, apporter aux entreprises une infrastructure de sécurité “agile et sûre”.
SDP est sensée l’être. Cette architecture de sécurité se déploie en trois niveaux : la mise en application, le contrôle et l'administration. Ce modèle sépare le niveau de mise en application du niveau de contrôle, ce qui permet la mise en œuvre de points d’exécution robustes et fiables capables d'obtenir les mises à jour de la protection en temps réel depuis le niveau de contrôle logicielle. SDP convertit les informations caractérisant les menaces en protections immédiates, et est administrée par une structure d'administration modulaire et ouverte.
Pour les entreprises qui voudraient comprendre dans le détail comment fonctionne cette architecture, l’éditeur a mis en ligne sur son site une vidéo (en anglais) expliquant la manière d’utiliser la méthodologie SDP : http://www.checkpoint.com/sdp/
