Cédric O, secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, est en visite dans l’Ain ces mercredi 27 et jeudi 28 janvier 2021, pour y revnontrer les acteurs du numérique locaux et signer
Au programme de Cédric O, la visite du centre opérationnel de pilotage du réseau de fibre optique déployé par le Syndicat d’énergie et d’e-communication de l’Ain (SIEA) dans les zones rurales du département. Il visitera également un chantier du déploiement de la fibre déployé dans le cadre du plan France Très Haut Débit. Enfin, il inaugurera un nouveau pylône 4G à Béréziat, déployé dans le cadre du programme gouvernemental d’amélioration de la couverture en téléphonie mobile (New Deal Mobile).
Cédric O visitera ensuite Innogex, incubateur de startups de la communauté d’agglomération du Pays de Gex et du Conseil européen pour la recherche nucléaire (CERN).
Déployer sur le terrain 4 000 conseillers numériques
Ce déplacement sera aussi l’occasion de signer avec le Syndicat mixte SIEA, en lien avec les principales collectivités territoriales, un accord préalable de principe grâce auquel l’État réserve 30 postes de conseillers numériques France Services à ce territoire. Ce dispositif du plan France Relance en faveur de l’inclusion numérique vise à déployer sur le terrain 4 000 conseillers numériques, professionnels de l’accompagnement, pour aider les Français les plus éloignés à devenir autonomes avec les outils numériques du quotidien. Solutions Numériques vous l’avait annoncé en novembre dernier.
Ces conseillers organiseront des ateliers d’initiation au numérique sur des thèmes tels que échanger avec des proches, construire un CV, suivre la scolarité de ses enfants en ligne, maîtriser ses données personnelles ou encore vérifier des informations.
L’Etat prend en charge le recrutement et la formation des conseillers sélectionnés ainsi que deux ans de salaire à temps plein dans la structure qui les accueillera à hauteur de 50 000 euros par conseiller numérique France Services pour les collectivités et de 40 000 euros pour les structures privées.