Captain DC parcourt inlassablement les nombreuses salles et couloirs des datacenters, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24, 365 jours par an, et cela sans jamais se plaindre. Bardé de capteurs et de caméras, ce robot a tout du coéquipier dont on ne peut plus se passer, capable de détecter des anomalies à des seuils non décelables par l’homme, et de résoudre des incidents de niveaux 2 et 3, accompagné à distance par un intervenant humain.
Fruit d’un travail de co-innovation des équipes R&D d’Econocom avec ses clients et ses partenaires tels qu’EOS innovation de la société Parrot, Captain DC est le premier robot à entrer dans un datacenter. A l’heure où les robots multiplient à tout-va leurs fonctions et leurs usages potentiels, tel Jia Jia, le premier androïde chinois annonciateur d’une Chine peuplée de robots au service de l’homme, Buddy, qui se veut le compagnon de toute la famille, ou encore Spoon, que son créateur Aldebaran dédie notamment à l’hôtellerie de luxe ou le retail haut de gamme, Captain DC se veut lui un automate aux services parfaitement identifiés.
Il n’a rien d’un humanoïde, ou d’un androïde, son look le faisant plutôt ressembler à un diable ventru d’1,80 mètre. L’ESN Econocom, 1er acteur indépendant sur le marché des services de maintenance matériel en datacenter en France – une position à mettre en perspective avec celle de 6ème acteur des services aux infrastructures (source Pierre Audoin Consultant) – lui a confié l’ingrate mais nécessaire mission de surveillance et de sécurité 24h/24 et 7j/7 des datacenters, là où sont rassemblées aujourd’hui les données les plus sensibles de notre monde moderne, qu’il s’agisse d’informations personnelles de santé ou de données-clés des entreprises. D’un charriot, Captain DC n’en a que l’aspect, de loin. Ces capacités en font un véritable coéquipier robotisé. Il se déplace de façon parfaitement autonome grâce à la programmation de ses points de passage, mais est capable de se rerouter en fonction des obstacles ou d’une présence humaine.
Le Robot est bardé de capteur pour une surveillance visuelle et sonore, à des seuils non-décelables par l’homme. Il surveille l’hygrométrie et la température de l’ensemble des allées du datacenter. Et envoie une alerte en cas de dépassement de seuil. Avec l’ensemble de ses relevés, il permet d’offrir des services de cartographies et d’urbanisation du datacenter.
Et il se pilote à distance pour diagnostiquer les incidents et permettre une décision immédiate. Via ses interfaces (écran tactile, caméras de côté pour détailler, caméra fisheyes grand angle, casque Bluetooth et micro directionnel), il accompagne alors le technicien de support, de niveaux 2 et 3, jusqu’au lieu exact de l’intervention.
Une solution clé en main, à 5 000 euros par mois (robot, installation et maintenance).
