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La plupart des éditeurs de logiciels supply chain se mettent progressivement au Software as a Service (SaaS). Certains le proposent déjà, comme Wexlog ou DynaSys, qui propose son logiciel en SaaS depuis fin 2010 et a deux clients qui louent son logiciel n.Skep Enterprise. Generix est plus avancé, traitant dix millions de lignes de commande de 25 sites logistiques par mois via son WMS en mode SaaS. D’après Philippe Guilhaumou, directeur marketing et produit Generix Collaborative Supply Chain : “le SaaS est en théorie plus cher au bout de sept ans d’utilisation. Mais il faut prendre en compte les coûts cachés, les conséquences logistiques et commerciales d’un arrêt du système installé dans l’entreprise, l’acquisition de nouvelles machines pour faire face à la croissance. Le marché de la supply chain va basculer à l’avenir sur le mode SaaS.” D’autres s’y mettent. Ainsi, Jean-Yves Costa, directeur des solutions logistiques de Hardis, explique : “Notre solution WMS sera disponible début juillet 2011 en mode SaaS, sous certaines conditions, en particulier le nombre d’utilisateurs concernés et le niveau de complexité des processus logistiques à soutenir. Nous sommes confiants sur le fort potentiel de développement du cloud computing, dont le SaaS est l’une des composantes, dans les prochaines années, en particulier dans le domaine des applications logistiques et transports.” Henri Seroux, directeur général Manhattan Associates France, apporte un bémol : “Nous pourrions faire du SaaS, mais on ne nous le demande pas.”