Maxime Diot,
Head of the Legal, Compliance and Research Promotion Department et DPO, Institut Pasteur de Lille
« Nous avons commencé à travailler avec les outils de la CNIL, le logiciel PIA et les registres de traitements proposés par la CNIL. Nous avons alors compris que tout était centralisé au niveau du DPO, à tort. La question de la donnée personnelle n’est pas que l’affaire du DPO dans une entreprise. Le DPO est en effet le gardien du temple, le chef d’orchestre de la donnée personnelle, mais ce sont, in fine, les opérationnels qui connaissent le mieux les données qu’ils exploitent.
Pour impliquer les opérationnels, il nous fallait un outil qui soit accessible à l’ensemble des parties prenantes qui travaille avec de la donnée personnelle afin de pouvoir les impliquer sur la gestion, la compréhension et le respect de la notion de sécurité portant sur ces données. Cela nous permet à la fois d’être en conformité sur l’obligation de détenir un registre et d’avoir des études d’impact.
Cela permet aussi d’évaluer le niveau de l’organisation et adapter les formations à dispenser. Le logiciel a été choisi afin d’adopter une démarche inclusive avec les opérationnels et à mon sens, Data Legal Drive est une solution très simple d’utilisation et avec une convivialité qui est un grand atout pour une telle décharge. En outre, le partenariat avec les éditions Dalloz et les Editions Législatives est un avantage en matière de veille. Nous sommes informés quasiment en temps réel des décisions de justice, informations issues de la CNIL, ce qui est très intéressant pour un DPO au quotidien. »
