- La nouvelle GED gére tout le cycle de vie des documents !
- PARTAGE D’EXPERIENCE - Noisy-le-Grand prend les rênes de sa gouvernance documentaire
- PARTAGE D’EXPERIENCE - Un hypermarché en quête du zéro papier
- PARTAGE D’EXPERIENCE - Parcours des patients, Ramsay Santé trouve la voie
- RGPD : comment se passe un contrôle de la CNIL? Témoignages de l’entreprise et de l’avocat
Un autre argument souvent mis en avant par le monde ouvert est la disponibilité du code source. Cela signifie qu’un DSI peut demander à ses équipes de modifier et d’adapter le projet open source à sa guise, si les compétences sont là… mais contrairement à une idée reçue, pour le DSI, l’ouverture du code est moins importante que la flexibilité (ne pas être obligé de passer à une version N+1) et surtout, que l’utilisation des standards du marché. La DSI est généralement davantage dans une logique d’assemblage que de contribution. Les directions informatiques se posent de nombreuses questions sur la gestion et le reversement des contributions aux communautés. Les différentes approches possibles (participation, donation,…) deviennent ainsi un débat émergent.
En revanche, les questions juridiques se posent (encore ?) peu, “même s’ils sont vigilants” souligne Véronique Torner. Ce n’est donc pas un réel problème pour le DSI. Cependant, un audit s’impose avant tout déploiement massif ou développement spécifique. Mieux vaut éviter tout conflit de licences.