- Trophées de la Transformation Numérique 2019 : les 17 champions de la Rédaction
- pentagone
- Cloud du Pentagone,Azure remporte le contrat de 1 milliard
- bastien_bobe-2
- Cybersécurité : le FIC 2020 se déroulera pour la première fois sur 3 jours
- ransomware
- pirate-informatique
- logoguidecyber_1907-rvb96
- logoguidecyber_1907-rvb96
- gouvernance-de-la-scurit
- icobnouvellesacargent
- "La France est devenue l’un des pays les plus avancés au niveau mondial en cybersécurité", selon Mathieu Poujol, tecknowlogy / PAC
- gartner-mq-2019
- cybersecurite
- Assises de la Sécurité 2016 - Les responsables IT témoignent en exclusivité pour Solutions IT
- m6
- Identité numérique sur mobile : Cédric O rejette les fantasmes sur la reconnaissance faciale
- reconnaissance-faciale
Traitements parallèles et en mémoire, avec compression de données, sont les bases techniques sur lesquelles repose HANA, la solution inmemory de l'éditeur, qu'il présente comme sa réponse. Cette plateforme associant logiciel et matériel doit à terme devenir la plateforme de prédilection pour l'ensemble des applications du géant allemand. “HANA permet des vitesses de traitement inégalées et conduit à modifier le traitement des processus dans l'entreprise”, commente Franck Cohen, président de SAP EMEA. “ça change complètement la donne : jusqu'ici, la seule manière de traiter le problème pour les entreprises était de disposer de deux environnements, l'un de production, l'autre de business intelligence. HANA permet de s'affranchir de cette contrainte et de n'avoir qu'une seule base de données”. Mais HANA connaît encore quelques limitations, qui évoluent très rapidement, il est vrai : on ne peut aujourd'hui aller au-delà de 16 To de données compressées. “Avec un facteur de compression de 5, cela permet tout de même d'aller jusqu'à 60 To”, note Jean-Michel Jurbert, responsable de marché pour les solutions BI et HANA chez SAP France, qui précise que cette limitation était encore à 1 To il y a 9 mois. “HANA répond déjà aux besoins de 99 % des entreprises”, ajoute Franck Cohen. “Et cela évolue en permanence : si une entreprise de la taille de Kingfisher s'en satisfait, il n'y a pas de souci de sizing. Il n'y a pas de solution miracle, mais la direction prise par SAP est la bonne”. Jean-Michel Jurbert précise tout de même que le serveur analytique IQ de Sybase répond également aux problématiques de puissance et de rapidité de traitement caractéristiques du Big Data, même s'il ne fonctionne pas in-memory, et représente sinon la solution idéale, au moins une alternative à HANA.