- RGPD, TOP DEPART !
- logo-sopra-steria
- 640px-zentrale_der_atos_it_solutions_and_services_gmbh_in_wien
- 640px-zentrale_der_atos_it_solutions_and_services_gmbh_in_wien
- Capgemini annonce un chiffre d’affaires en hausse de 6,9 % pour le 1er semestre 2023
- capgemini-siege-issy-les-moulineaux
- metaverse-gecf505b4b_1280
La solution VMPro 4000 – vendue entre 13 000 et 14 000 dollars – regroupe l’appliance DXi de Quantum et le logiciel de Pancetera sous forme de virtual appliance : “la machine virtuelle protège tout l’environnement VMware vers le DXi, optimise les entrées-sorties et facilite la restauration au niveau du fichier. Le redémarrage d’une VM VMware protégée peut reprendre partout sur un nouveau serveur”, conclut-il. Un nouveau besoin se généralise actuellement ; il consiste à traiter un workflow complet autour de la sauvegarde. Mais, même la plus belle robotique de protection de fichiers doit encore se méfier de ses propres pannes matérielles. C’est pourquoi Quantum associe à sa gamme Scallar les algorithmes avancés du logiciel Stornext. Dans cette offre modulaire, un composant essentiel devient le contrôleur de métadonnées, le modèle StorNext M330. Ce chef d’orchestre est le garant de l’intégrité des fichiers et des règles concernant leur déplacement. L’entreprise a donc tout intérêt à prévoir sa mise en grappe, deux têtes (ou davantage) valant mieux qu’une, à ce niveau. La combinaison des logiciels Quantum permet encore d’identifier, en tâche de fond, qu’une cartouche LTO va devenir moins fiable ; on peut ainsi déplacer ses données à temps. En effet, les automatismes ne deviennent profitables qu’à partir du moment où l’on peut restaurer des fichiers intègres, en écartant les médias suspects. Dans cette perspective, un plan de reprise d’activité pourra exiger d’investir dans deux instances (distantes) du même logiciel ou encore dans une seconde appliance virtuelle. Hier encore réservée aux grandes entreprises, la virtualisation du stockage se démocratise et séduit un nombre croissant de PME. Ces petites et moyennes organisations disposent rarement d’une infrastructure dédiée au stockage. Elles découvrent, au travers des solutions de virtualisation du stockage, les fonctions avancées des architectures SAN et des solutions de sauvegarde dernier cri. Notamment, la déduplication et la réplication de données, l’expansion dynamique de pools de stockage ou les copies instantanées (snapshots) optimisent la protection des informations, via deux sites distants le plus souvent. “La virtualisation du stockage impose une remise en question de toute l'infrastructure de stockage et de sauvegarde”, souligne cependant Cédric Georgeot, ingénieur chez e-novatic (lire plus loin son avis sur les mécanismes de haute disponibilité et la protection des données). Les informaticiens des organismes de santé, des grands producteurs d’images, de photos aériennes ou de flux vidéo sont confrontés à une croissance de volumétrie exponentielle. “Certains de nos clients renouvellent leur infrastructure chaque année car leurs besoins explosent actuellement. L’apparition des flux Haute Définition 3D exige de nouveaux serveurs pour la post-production, la TV, le cinéma… Le stockage en réseau doit suivre. Nos clients apprécient les grappes de stockage simples à installer, à mettre à jour et à administrer”, note Aurélien Gouget, Senior SE Manager pour l’Europe du sud et le Benelux d’Isilon. Avec ses containers intelligents (smart pools), le fabricant américain, à présent filiale d’EMC, facilite la migration des fichiers entre trois familles de disques aux performances distinctes. L’entreprise peut fixer des règles hiérarchiques, par exemple, pour préserver ses fichiers VMDK (machines virtuelles) sur des espaces rapides SSD, puis archiver automatiquement les fichiers sans accès depuis deux mois vers des médias moins coûteux.