Parmi les éléments déclencheurs de l'adoption d'un cloud privé, on trouve d'abord les opérations de fusion/acquisition et les projets de consolidation de centres de calcul, de serveurs et de services. Mais d'autres facteurs peuvent être moteurs dans la démarche, comme la recherche de réactivité dans le démarrage des projets, la mise en place de nouveaux services et de nouvelles applications ou encore la résolution de problèmes techniques liés à un socle technique existant vieillissant. Enfin, une complexification et une multiplication des environnements à gérer (test, développement, recette, pré-production, production…), un passage à des horaires en 24/24 et 7/7 obligeant à fiabiliser le socle technique et une facilitation de l’exploitation peuvent également peser en faveur de l'adoption du cloud. Sans oublier la réduction des coûts qui, même si elle n'est pas aussi importante avec un cloud privé qu'avec un cloud public, peut se révéler substantielle. “Le cloud est une rupture technologique majeure et un virage stratégique pour les systèmes d'information”, souligne Nicolas Leroy- Fleuriot, PDG de Cheops. Et de citer Charles Darwin en guise de métaphore pour appuyer son propos : “les espèces qui survivent ne sont pas les espèces les plus fortes, ni les plus intelligentes, mais celles qui s'adaptent le mieux aux changements”.
À quelle occasion les DSI optent-ils pour un cloud privé ?
Sommaire du dossier