- Datacenter : quels labels de fiabilité et de performances ?
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C’est en fait le véritable problème du DLP, ce que les Américains désignent sous le titre générique de “l’inventaire des “Assets””. Il n’existe pas d’équivalent Français pour ce mot. Propriété intellectuelle, informations vitales, richesses propres, secrets de fabrication, fichiers clients et prospects, réseau de distribution, gestion de processus… les Assets sont les “avoirs” industriels au sens large, y compris — et surtout- des bien immatériels qui n’ont pas toujours de rapport direct avec la “spécialité maison”. Un DLP ne sert à rien si l’on ne sait pas quoi lui faire protéger. Et c’est malheureusement là que la plupart des chefs d’entreprise et cadres se trompent lourdement. On retrouve cette même incapacité à définir les biens propres de l’entreprise lors des analyses financières poussant à adopter une politique d’externalisation. Dans ce cas précis, le DLP devient révélateur d’une carence de gestion alors que l’on cherchait un “cache-misère-sécurité” générique, magique et économique.