Amandine Plas,
CMO de Cityscoot
Créer, maintenir et renforcer le lien entre ses équipes opérationnelles et administratives est le défi relevé par le loueur de scooters.
Créé en 2015, Cityscoot a lancé son service de scooters électriques en libre-service principalement à Paris, Nice, Milan et Barcelone. L’entreprise emploie environ 300 employés à travers l’Europe et revendique 220 000 utilisateurs qui ont à disposition une flotte de 7 000 scooters. Sur le terrain, les équipes du loueur représentent près de 35 % de l’effectif global, et jusqu’à 50 % lors des pics d’activité. Cityscoot cherche à centraliser les communications de tous ses salariés et à structurer par canaux ses projets et les actions qui en découlent au niveau local, départemental et national. Il s’agit par exemple de simplifier la communication entre les personnes chargées de la maintenance des scooters, de la répartition de véhicules dans les territoires et de la rencontre directe avec les clients ou encore, à un niveau supérieur, de faciliter les échanges entre les département marketing et communication au sujet de campagnes en cours, au plan départemental comme par pays.
Des échanges fluidifiés
L’objectif du loueur est d’être plus proche de ses clients, réactif dans la réponse à leurs besoins et leur offrir une expérience fluide. L’entreprise recherche « un moyen de communication instantané et agile entre tous les sites, un bureau à distance virtuel », elle fait le choix de Slack. « Slack est devenu notre outil central de communication. On se pose des questions en temps réel comme si on était au bureau les uns à côté des autres », indique Amandine Plas CMO de Cityscoot. Parmi les grandes fonctions de Slack adoptées par les équipes du loueur, on trouve la personnalisation des notifications, la planification des réunions et actions sous Google Calendar ou encore la disponibilité de canaux de communication sécurisés dédiés aux échanges externes, en particulier avec les partenaires de l’entreprise. « Tous les échanges se retrouvent fluidifiés. De plus, cela nous permet de bien intégrer nos interlocuteurs externes, comme pour former une seule et même équipe », souligne Amandine Plas. L’entreprise estime que sans cette solution centralisée, il aurait fallu au moins cinq ou six outils différents pour arriver au même résultat.