La plus grande avancée de DataProtector v11 porte certainement sur l’introduction d’un nouveau moteur de déduplication logicielle, qui ne nécessite pas l’acquisition de stockage spécifique
Les cyberattaques se multiplient avec les ransomwares. Afin de réduire les risques, il est désormais vital d’assurer la sauvegarde intelligente des données jusqu’à la périphérie éclatée de l’entreprise, et en cas d’attaque réussie d’être capable de les restaurer avec finesse afin de relancer le business.
Lors d’une attaque désormais inévitable, l’entreprise doit retrouver ses données et les replacer au service du business. Une mission qui incombe à la sauvegarde. Celle-ci doit s’adapter et être étendue à la réalité des usages dans l’entreprise, comme la bureautique et la collaboration (Office 365 et Sharepoint en ligne, Teams), l’orchestration et l’automatisation des process de sauvegarde, ou la réduction de l’espace et de l’empreinte carbone de la donnée. DataProtector de Microfocus, aujourd’hui en version 11, est largement reconnue par les services informatiques en réponse à leurs attentes en matière de ‘backup & restore’.
Microfocus DataProtector 11 élargit la protection des données
Pour faire face à l’explosion du périmètre du SI, la sauvegarde doit être universelle, transverse et intégrée. DataProtector 11 couvre les données et les applications des architectures physiques ‘on premise’, avec les bases de données dont Microsoft SQL Server, et les supports de stockage comme NetApp, Dell ou HPE. Elle couvre également les déploiements de l’entreprise dans le cloud, comme les environnements Microsoft Office 365, Sharepoint et Teams, ou encore le support des machines virtuelles et des containers.
DataProtector offre une Intégration cross plateforme qui couvre les données non structurées, les applications, le cloud, les systèmes d’exploitation (OS) des serveurs aux postes de travail, les hyperviseurs, ainsi que les bandes toujours d’actualité et économiques. Pour suivre l’approche moderne des stratégies hybrides, la solution se déploie vers Amazon S3 et Glacier, Microsoft Azure, ou encore Scality. Elle simule VTL et Microsoft StoreSimple, ainsi qu’une appliance qui offre la possibilité de prendre en charge la migration vers le cloud.
L’orchestrateur est également un élément clé. Supportant des configurations éclatées de 100 Go plusieurs Po, l’outil répond aux attentes de granularité des sauvegardes en les structurants par cellules, avec “cell manager” qui crée des workflows complexes reliés à des activités. Par exemple, une cellule Windows, une autre Linux, une certifiée SAP, etc. Cette approche permet des stratégies de sauvegarde et de restauration différenciées, jusqu’à des très grandes configurations complexes, offre des capacités d’automatisation, d’optimisation pour les trafics réseaux, plus de souplesse pour le cloud hybride, et une couverture des snapshots jusqu’aux bandes.
Microfocus DataProtector v11 introduit la déduplication
La plus grande avancée de DataProtector v11 porte certainement sur l’introduction d’un nouveau moteur de déduplication logicielle, qui ne nécessite pas l’acquisition de stockage spécifique. C’est un outil économique, qui réduit l’espace donc le coût de stockage des sauvegardes, dans le respect des réglementations, ainsi que l’empreinte carbone des données en réponse aux attentes des organisations.
Couverture renforcée des environnements Microsoft
Face à un risque cyber qui ne cesse d’augmenter, et au changement de doctrine des assureurs qui refusent de payer les rançons, il est essentiel que l’entreprise dispose d’un système de sauvegarde. Microfocus DataProtector, dont la v11 accentue sa couverture vers les environnements Microsoft et se dote d’une déduplication plus performante, offre à l’entreprise un outil unique qui prend en charge l’ensemble de son informatique, on premise, mainframe et cloud, pour adapter et automatiser la sauvegarde et la restauration de ses données.
Yves Grandmontagne