La migration est similaire au mouvement des données entre disques durs. De la perspective du système d’exploitation et des applications installées, un disque SSD n’est rien d’autre qu’un disque dur. Néanmoins, quelques points doivent être pris en considération.
- Comment devez-vous transférer les données ? Avec les bases de données, la copie de différents fichiers depuis l’ancienne sur la nouvelle partition est problématique, car ceci peut modifier les métadonnées. La création d’un fichier d’image du support de stockage de données source est une meilleure solution. Dans ce processus, les fichiers ne sont pas modifiés pendant la sauvegarde et les métadonnées importantes restent intactes.
- Comment devez-vous restaurer les données ? Au moment de la restauration des données sur le disque SSD, il est important que le logiciel utilisé puisse également écrire sur un matériel différent. En effet, pour des questions de coût, le disque SSD offrira moins d’espace mémoire que le disque dur conventionnel.
- Gérez votre disque dur et votre disque SSD à partir d’une seule plateforme. Le logiciel de sauvegarde et de restauration doit prendre en charge le pilote de périphérique correct pour le disque SSD. C’est à cette seule condition que la mémoire flash sera visible dans l’application. Par conséquent, le logiciel choisi doit pouvoir gérer aussi bien les disques durs que les disques SSD afin d’éviter de devoir utiliser des applications différentes.