« Comme beaucoup d’hôpitaux, le plus gros challenge auquel nous avons dû faire face a été de basculer dans le télétravail de manière massive. Le télétravail était jusqu’alors réservé aux personnes qui possédaient un laptop du CHU, sécurisé par nos soins. Il nous fallait donc organiser ce télétravail à partir des postes personnels de nos agents et la contrainte est tout autre en termes de sécurité. Cela est passé par la mise en place de VPN sécurisé avec une vérification de prérequis techniques avant d’autoriser la connexion.
Pour l’après-crise, je pense que le nombre d’agents qui voudront télétravailler sera certainement supérieur à l’avant-Covid. Nous nous attendons donc techniquement à prendre en charge une augmentation nette du nombre de demandes de télétravail malgré une limite de 3 jours par semaine fixée par décret et l’incompatibilité de certaines professions avec ce mode de travail. »