L’attaque a pu être favorisée par le télétravail mis en place pendant le confinement, alors que 1200 agents du Conseil Départemental de l’Isère sont en télétravail du fait du confinement.
En tout cas, c’est une attaque par déni de service cherchant à paralyser les bandes passantes, selon Damien Michalet, vice-président délégué à l’aménagement numérique et aux systèmes d’information.
Elle s’est déroulée lundi et mardi derniers, et a très fortement perturbé les systèmes informatiques, avec des attaques “violentes“.
Le plus grand nombre de connexions à distance -1 200 télétravailleurs actuellement contre 200 habituellement – “nous fragilise” indique le responsable, qui ne sait toutefois pas pour le moment par où est entrée l’attaque.
Il appelle à une grande vigilance alors que les systèmes sont davantage vulnérables en ce moment. Il indique que ces attaques viennent de la Chine et de la Russie.