Le test fait gagner de l’argent. Durant notre enquête, nous avons entendu régulièrement cet argument. En effet, le testing peut faire gagner de l’argent à l’entreprise. Acial prend l’exemple suivant : un bug découvert très tôt coûte 1, un bug découvert en phase de tests (plutôt en fin de cycle de conception) coûte 10, un bug en production coûtera 100. Cependant, il est très difficile d’établir un ROI du testing. Celui-ci pourra être indirect. Car en cas de bug en production, cela pourra ternir l’image de la société, faire perdre des clients et obliger à reprendre le développement en urgence pour corriger et redéployer l’application. Après, nous rentrons dans la gestion du risque. Par exemple un bug bloquant sur un site de commerce sera particulièrement négatif, une campagne de tests aurait pu le découvrir. Retenez que la qualité logicielle coûte cher. Le coût des tests représentera jusqu’à 30 à 40 % du projet.
Quel ROI pour le test ?
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