Si 2013 a été l’année d’une large adoption de l’infrastructure OpenStack aux USA et en Europe, 2014 devrait être l’année des finitions, de l’optimisation des performances et du nettoyage approfondi du framework open source.
« Cela permettra de bâtir des clouds privés et publics tout en simplifiant les déploiements, les usages et la mise en production », explique Christopher Tozzi, sur son site TheVARGuy.com.
La nature open source et modulaire d’OpenStack contribue à son succès auprès des intégrateurs en particulier. Elle distingue le framework d’offres concurrentes d’origine VMware, Citrix ou Microsoft et semble en mesure d’assurer son succès sur le long terme.
Parmi les améliorations fonctionnelles du moment, l’interface textuelle – pour les lignes de commandes systèmes – est en cours d’unification entre tous les composants OpenStack. Cet effort de développement devrait mettre fin aux diverses consoles d’administration disparates. Autre optimisation notable, l’orchestrateur Nova bénéficiera prochainement d’une API dédiée visant à faciliter le déploiement de services dans le cloud.