Chaque jour, de nombreux mémos électroniques importants ne sont pas lus par leurs destinataires, car basculés automatiquement dans une corbeille de messages indésirables. C’est le revers de la démocratisation des logiciels antispam, aux algorithmes filtrant systématiquement les contenus de nos e-mails.
Le plus souvent, un paramétrage de l’outil suffit pour adapter aux métiers de l’entreprise les règles de filtrage. Des listes blanches, grises ou noires aident à segmenter les expéditeurs pour optimiser l’aiguillage en évitant que des messages légitimes soient pris pour du spam.
Le prestataire Mailjet évalue le coût des faux-spam en France à 4,5 millions d’Euros quotidien, soit 1,7 milliard d’Euros par an. Il préconise naturellement sa technologie et ses indicateurs de performances lors des campagnes d’emailing. Selon lui, trop de destinataires ne prennent pas connaissance d’opportunités ou bien ils les découvrent trop tard pour agir à temps.