81 000 messages privés de comptes piratés de Facebook auraient été à vendre sur Internet depuis un temps indéterminé. En cause, certaines extensions malveillantes des navigateurs internet.
Un article de la BBC l’affirme, 81 000 messages privés de comptes piratés de Facebook auraient été à vendre sur Internet depuis un temps indéterminé, l’annonce ayant été depuis sa révélation désactivée. Les pirates proposaient l’accès au prix de 10 centimes de dollar par compte.
Les pirates, toujours selon la BBC, via son service russe – alors que la majorité des comptes piratés appartiendrait à des russes et des Ukrainiens – auraient même indiqué qu’ils détenaient des informations sur 120 millions de comptes.
Les pirates, toujours selon la BBC, via son service russe – alors que la majorité des comptes piratés appartiendrait à des russes et des Ukrainiens – auraient même indiqué qu’ils détenaient des informations sur 120 millions de comptes.
“Le service russe de la BBC a contacté cinq utilisateurs russes de Facebook sur Facebook dont les messages privés avaient été téléchargés et a confirmé que ces messages leur appartenaient. Un exemple comprenait des photographies de vacances récentes, un autre une conversation sur un concert de Dépêche Mode et un troisième sur des plaintes concernant un gendre. Il y avait aussi une correspondance intime entre deux amants“, indique la BBC.
Facebook a indiqué que ces données provenaient sans doute d’extensions malveillantes de navigateur. “Nous avons contacté les fabricants de navigateurs pour nous assurer que les extensions malveillantes connues ne sont plus disponibles au téléchargement dans leurs stores“, a déclaré Guy Rosen, VP of Product Management de Facebook, cité dans l’enquête. “Nous avons également contacté les forces de l’ordre et collaboré avec les autorités locales pour supprimer le site Web affichant les informations des comptes Facebook“.
Facebook a indiqué que ces données provenaient sans doute d’extensions malveillantes de navigateur. “Nous avons contacté les fabricants de navigateurs pour nous assurer que les extensions malveillantes connues ne sont plus disponibles au téléchargement dans leurs stores“, a déclaré Guy Rosen, VP of Product Management de Facebook, cité dans l’enquête. “Nous avons également contacté les forces de l’ordre et collaboré avec les autorités locales pour supprimer le site Web affichant les informations des comptes Facebook“.
Des données provenant de 176 000 autres comptes ont également été mises à disposition, selon la BBC, comme des adresses électroniques et des numéros de téléphone, sans nécessairement qu’elles aient été piratées, mais récoltées via des données publiques.
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