Le RSE n’est pas un outil de communication “top-down”. Ce serait une erreur de le substituer aux espaces de diffusion d’informations institutionnelles (ex. : intranets). Pour certains contenus, il apporte des fonctionnalités complémentaires :
>Décloisonnement de l’information (“je n’ai pas besoin de savoir où chercher pour trouver”),
>Décentralisation de la contribution (“chacun enrichit et accroît la valeur du contenu”),
>Agrégation d’informations déduites par le logiciel RSE (“mon RSE qualifie l’information à partir de ‘tags’, par exemple”).
Un écueil dans les organisations françaises reste le manque de partage d’informations et non pas “le partage inapproprié”. Commenter une discussion, rédiger un blog, créer une communauté sont souvent des pratiques inconnues, voire personnelles. Pour faciliter ce partage, dépasser les craintes ou les complexes, une politique de communication, valorisant la contribution, devra être menée. Une charte peut aider à rassurer et prouve l’implication de la Direction.