Outre les stratégies d’écriture numérique déclinées sur le document, il existe des moyens d’intervenir en aval. “La meilleure façon de sécuriser le document imprimé reste avant tout la sécurisation du document dès son origine”, souligne Eric Jamet. “En plus de l’utilisation de codes 2D, on peut ainsi centraliser au maximum son éditique et son envoi (comme c’est le cas pour de nombreux documents de gestion ou documents égrenés sensibles), et appliquer une empreinte de type hologramme, limitant les risques de reproduction. Ces éléments sont autant de garanties d’intégrité, facilitant les contrôles et le traitement lors d’une phase ultérieure de dématérialisation. La sécurisation de l’impression peut également passer par le blocage de certaines fonctions des outils de GED, par exemple, ne pas pouvoir imprimer ou soumettre le droit d’impression à droit utilisateurs, imprimer systématiquement avec la mention “duplicata”, ne pas permettre la copie depuis le clavier ou la souris ou encore, apposer un cache sur l’écran dès que la souris quitte l’environnement de consultation GED”.
Sécuriser le document imprimé
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