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Travailleurs à domicile ou dans des bureaux de co-working, salariés en mouvement à l’intérieur même de l’entreprise ou en dehors… le contexte législatif et les outils de communication et de collaboration facilitent aujourd’hui le télétravail sous toutes ses formes.
Remontons le temps. Une étude menée par IDC et Bouygues Télécom publiée en janvier 2014 indiquait que le travail en situation de mobilité se diversifiait et s’intensifiait nettement en France. Travail à domicile pendant les heures de bureau, ou en dehors de ces horaires, révision d’un rapport pendant le temps de transport domicile-entreprise, mise en place d’un projet directement chez un client : 74 % des salariés affirmaient pratiquer ces modes de travail, hors bureau. Ciel mon bureau (conseil en gestion de biens immobiliers) indiquait de son côté que plus de 70 % des cadres français travaillaient en dehors de leur entreprise. Les chiffres étaient nettement plus bas pour le télétravail proprement dit : entre 10 et 15 % des salariés français étaient concernés contre 18 % à 20% en Europe, selon les chiffres. « Le télétravail en France concerne moins de 15 % des salariés. A titre de comparaison, dans les pays anglo-saxons ou scandinaves, entre 20 % et 35 % des salariés travaillent régulièrement à distance. Preuve, s’il en fallait, que le télétravail n’est pas encore rentré dans les mœurs dans l’Hexagone », affirmait en 2015 Mickaël Hoffmann-Hervé, directeur général délégué en charge des ressources humaines du groupe Randstad France.
Selon les toutes dernières études, comme celle de Vivastreet, 16 % des Français déclarent avoir déjà pratiqué le télétravail. Mais ils souhaitent vivement intensifier cette pratique. 41 % souhaiteraient l’adopter à plein temps et 31 % préfèreraient alterner télétravail et présence au bureau.
Dans les secteurs informatique/Internet/télécom, les chiffres grimpent… 95 % des salariés voudraient devenir télétravailleurs – le chiffre est particulièrement éloquent – à temps plein ou à temps partiel.
La technologie change le travail
Le télétravail est présenté comme un nouveau droit du salarié par le gouvernement dans sa réforme du code du travail, alors qu’il reste informel (télétravail gris ) dans au moins six cas sur dix (source LBMG Worklabs 2017). Va-t-il changer la donne et le faire entrer profondément dans les mœurs, aidé en cela par les nouvelles solutions de communication et de collaboration, en particulier dans le Cloud, proposées aujourd’hui aux entreprises, ou encore les applications RH mobiles (demandes de congés, déclaration des notes de frais, gestion des feuilles de temps, etc.) utilisables n’importe où et n’importe quand ? L’amélioration de ces technologies, la puissance des outils (du PC portable au smartphone), des réseaux (la 5G notamment) et des infrastructures plus largement ne peuvent évidemment qu’accélérer cette flexibilité du travail. D’ailleurs, selon le rapport de PwC « The future of work », 53 % des personnes s’attendent à ce que les avancées technologiques transforment encore davantage notre façon de travailler dans les 5- 10 ans qui viennent. D’ici 2030, prévoit l’étude, 10 % des sociétés les plus importantes aux États-Unis seront des entreprises « virtuelles » – les bureaux étant occupés par moins de 10 % du personnel. Il devient alors évident que les sociétés doivent s’assurer de mettre à disposition les outils nécessaires à ceux qui travaillent à distance.
Les jeunes générations à l’origine des mutations
La génération Y est à l’origine, pour beaucoup, dans ses mutations. Pour 88 % de ces représentants, les technologies qu’ils utilisent devraient s’intégrer dans leur travail et leur quotidien (source Jamie Gutfreund, « What Millennials Want In The Workplace (And Why You Should Start Giving It To Them »). Selon le rapport de Dell et Intel nommé Future Workforce Study, sorti il y a un an, 59 % des employés français de cette génération s’accordent à dire, par exemple, que la collaboration à distance et l’amélioration des technologies de communication vont rendre la communication en face-à-face obsolète. En l’occurrence, chez Dell, on pratique le télétravail depuis une petite dizaine d’années – le fabricant s’est d’ailleurs fixé pour objectif d’avoir 50 % de sa masse salariale en télétravail d’ici 2020 – et pour les collaborateurs qui travaillent souvent en mobilité, il n’y a plus de bureaux attitrés, explique Karim Manar, Client Solution Marketing Lead chez Dell EMC. Le fabricant a d’ailleurs défini 5 profils de collaborateurs (persona) de l’entreprise, et les équipements/technologies qui vont avec, reflets des changements des modes de travail. Le sédentaire, avec bureau attitré et station de travail classique. Le collaborateur en mouvement – on parle ici de la mobilité intra-entreprise – qui va de salle de réunion en salle de réunion, et qui a besoin d’un PC portable, d’un smartphone et d’une connexion optimisée. Mais aussi de PC en libre-service ou encore de grands écrans interactifs et collaboratifs dans les salles de réunion. Le télétravailleur réclame, lui, un PC portable et toute la connectivité nécessaire chez lui pour pouvoir collaborer avec ses collègues, qui sont sur d’autres sites et ailleurs dans le monde, notamment par visioconférence. Le collaborateur nomade (à l’instar d’un commercial) a, quant à lui, besoin de devices légers avec des batteries performantes et tout un écosystème périphérique. Il doit pouvoir travailler dans un environnement de co-working. Il reste les profils spécialisés, les ingénieurs et créatifs d’un côté, auxquels offrir de la puissance avec des stations de travail performantes, et des utilisateurs « outdoor » de l’autre, les militaires ou le personnel des directions départementales de l’équipement par exemple, auxquels réserver les PC durcis, extrêmement mobiles et solides, résistants aux conditions météorologiques difficiles.
« Le collaborateur moderne vit la fin du lieu de travail unique, la fin du device unique, et attend de son employeur des apps multimédias répondant à son besoin de mobilité. »
Jean-Denis Garo, Mitel
Sans bureau fixe, mais avec les bons outils
Pour Mitel, spécialiste mondial dans le domaine des communications d’entreprises, les salariés sont influencés par l’usage accru de leurs équipements mobile dans la sphère privée, et ils placent la mobilité au cœur de leurs exigences dans le cadre professionnel, car elle est synonyme pour eux de souplesse et de liberté. « Le travail c’est ce que vous faites, pas l’endroit où vous allez », justifie Jean-Denis Garo, directeur marketing Europe du Sud de Mitel.
Et nul doute que pour le responsable le contexte politico-social va soutenir le développement de pratiques favorisant la flexibilité au travail. « Dans une société touchée par des vagues d’évolution d’usages, d’innovations technologiques, les applications mobiles de communication et de collaboration répondent à des besoins et enjeux tangibles. Moteur de productivité, voire de créativité pour les salariés, elles représentent un facteur capital à intégrer dans une stratégie de transformation digitale aboutie », commente-t-il, Il est nécessaire pour les entreprises « de considérer la mobilité au travail comme un élément stratégique de leur développement, tant pour répondre à leurs objectifs business qu’aux attentes de leurs collaborateurs, notamment en matière de solutions de communication et de collaboration », renchérit de son côté Julien Ivanovitz, Sales Specialist Unified Communication d’Aberia, intégrateur de services, de voix, données et images pour l’entreprise, et partenaire de Mitel. Une mobilité qui va devenir de plus en plus présente, poussée encore davantage par la génération Z (celle née après 1995) cette fois-ci. Une étude BNP Paribas (« La Grande Invazion », janvier 2015) note que ces jeunes souhaitent des entreprises souples au niveau des horaires, du rythme ou encore du lieu de travail.
« Je n’imagine pas du tout rester devant un ordinateur à longueur de journée », déclare un jeune cité dans l’étude. « Le fait d’arriver tous les jours au même endroit, rester enfermée dans un bureau et coincée sur mon ordinateur. C’est pas pour moi. Je changerais le cadre pour qu’il devienne plus dynamique », soutient une jeune fille, du même âge.
Une nécessité et une réalité de terrain
« On assiste carrément à une mutation de l’environnement de travail, constate Ahmed Abdelghani, Practice Manager Digital Workplace chez Umanis qui est poussé par deux phénomènes : les innovations technologiques d’un côté et un rythme de vie différent qui fait que l’on ne peut plus travailler de façon sédentaire. Il voit deux formes de télétravail. Celui motivé « pour des raisons RH » : un salarié a des problèmes de santé ou habite très loin par exemple. Et celui dû au fait que « les collaborateurs sont de plus en plus en mobilité », une réalité et une nécessité terrain. Ils doivent embarquer l’ensemble de leur écosystème d’information avec eux.
« On ne travaille plus de la même manière en télétravail maintenant qu’il y a 10 ans. L’expérience de télétravail s’est développée pour qu’elle soit la plus virtuelle possible, pour que l’on soit le moins dépendant du bureau. Pour travailler efficacement à distance, il faut fluidifier les échanges entre les employés et mettre en place les bons canaux de communication. Harmoniser l’écosystème IT que l’on met à disposition des utilisateurs est devenu un enjeu majeur aujourd’hui. » Pour le responsable, l’outil Teams de Microsoft, plateforme pour le travail en équipe dans Office 365, en est un bon exemple, prenant en charge les aspects conversationnels, ceux de gestion documentaire et de visioconférence/ chat. « En outre, il est très modulaire, permettant d’ajouter des apps, de customiser son espace de travail », ajoute le responsable.
« L’expérience de télétravail
s’est développée pour qu’elle soit
la plus virtuelle possible. »
Ahmed Abdelghani, Umanis
« Tous nos outils BlueMind ont été pensés dans l’idée du travail à distance. »
Pierre Baudracco, BlueMind
Communiquer, en temps réel
Des plateformes comme Skype, Slack, Trello et Google for Work permettent aux collaborateurs d’accéder instantanément aux toutes dernières informations et d’en échanger plus facilement entre eux. Indispensable, car sans doute l’application la plus employée, la messagerie se fait collaborative pour faire avancer ensemble les équipes bien au-delà d’une application de courrier électronique, pour mettre en commun les contacts, les agendas, des informations, des fichiers. « Tous nos outils BlueMind ont été pensés dans l’idée du travail à distance, au premier titre desquels notre solution de messagerie mais également nos outils de support, nos outils de suivi, notre CRM. Nous en sommes les premiers utilisateurs car une partie de nos salariés (fonctions support ou commerciales) travaillent d’ailleurs régulièrement à distance », indique Pierre Baudracco Président de BlueMind. Sa messagerie collaborative éponyme, open source, a développé un outil qui facilite le remplacement du serveur Exchange tout en conservant Outlook sans aucun ajout à celui-ci. L’outil sera disponible dans le courant de l’année 2018 et devrait permettre à la société de conquérir les clients fidèles au couple Outlook Exchange (voir encadré ci-contre). En amélioration constante, la solution offre aussi un chat intégré, des communications unifiées – elle supporte la ToIP pour coupler messagerie et téléphonie, les visioconférences – BlueMind travaille avec plusieurs éditeurs pour intégrer directement ces fonctionnalités…
Les UCaaS : 2 milliards d’euros en 2020
Les communications unifiées, qui décrivent la capacité à traiter les différents canaux de communication, et collaboratives représentent un marché mondial qui devrait atteindre 35 milliards de dollars en 2019 (source : IDC, Worldwide Mobile Unified Communications and Collaboration (UC&C) Forecast, 2015-2019). En France, les dépenses des entreprises en matière de solutions de communications unifiées et de collaboration ont atteint 1,5 milliard d’euros en 2016, et pourraient représenter près de 2 milliards d’euros en 2020. Impulsées par le développement des technologies et la prépondérance grandissante du tout mobile, ces solutions répondent aux besoins des entreprises en leur permettant d’optimiser leur productivité, tout en améliorant l’expérience utilisateur. Les outils de collaboration montent d’ailleurs en puissance. A se référer aux diverses études, les collaborateurs recherchent flexibilité, simplicité et réactivité en étant joignables et connectés, qu’importe le lieu et le terminal utilisé. Dans une étude de Mitel publiée en février 2017, les 300 décideurs sud-européens interrogés sur les fonctions indispensables devant être intégrées à une solution UCaaS plébiscitent à 56 % les outils de collaboration avancée tels que la vidéoconférence, le partage de bureau et d’applications. Le pourcentage montant à 64 % en France. Chez Mitel d’ailleurs l’outil de collaboration en ligne qui fait référence est MiCollab. La solution offre aux salariés la possibilité de collaborer partout et sur n’importe quel terminal, en disposant des mêmes outils et d’une interface cohérente. Que l’on soit au bureau, chez soi ou en déplacement.
Le Cloud en première ligne
Chez Interoute, qui d’opérateur d’infrastructure devient fournisseur de plateformes digitales, les communications unifiées sont l’un des « trois grands piliers d’activité », nous indique Bruno Boucq, le directeur général, lors d’une visioconférence mêlant un poste de communication unifiée de Cisco, un PC, une tablette et un iPhone, montrant les capacités multidevices de son dispositif. « On aurait aussi pu converser dans une salle immersive. Cela aurait été une cinquième façon de se connecter », précise-t-il. Et tout cela, dans un modèle « as a service ». L’entreprise est la première à utiliser ses propres solutions, avec des collaborateurs en grande partie répartis dans des centres de services partagés à Berlin, Budapest, Prague ou encore Sofia. et des collaborateurs sans cesse en mouvement. « La communication en voyant la personne est beaucoup plus efficace et pertinente, qu’avec les seuls sons ou textes ». La plateforme de Communications Unifiées (audio et vidéo) globale intégrée au cœur du réseau MPLS d’Interoute s’appelle One Bridge.
« Le sujet le plus important est, quel que soit l’endroit où vous soyez, quel que soit l’outil que vous ayez entre les mains et à quel que moment que ce soit de votre journée, de pouvoir communiquer avec à la fois l’interne et l’externe de votre entreprise. »
Bruno Boucq, Interoute
C’est bien le Cloud qui permet d’être connecté partout et en toutes circonstances. Mais pour profiter de tous les avantages de ce dernier en évitant les problèmes de sécurité et de complexité, un espace de travail numérique « unifié, contextuel et sécurisé » est nécessaire, selon Citrix. « Les espaces numériques sécurisent et intègrent les technologies, les plateformes, les périphériques et les Clouds, veillant à ce que les organisations puissent mettre en place l’avenir du travail tout en menant à bien leurs activités », soutient le géant. Dans son espace de travail numérique intégré (Citrix Workspace), XenApp et XenDesktop mettent à disposition les applications et postes de travail. Un accès distant sécurisé aux postes et aux applications Windows, ainsi qu’aux applications Linux, Web et SaaS depuis tout périphérique et via tout réseau, est assuré. XenMobile s’occupe de la sécurité des périphériques.
Un espace de travail unifié et sécurisé
La technologie assure la gestion des périphériques mobiles (MDM), la gestion des applications mobiles (MAM) et la gestion du contenu mobile (MCM), et offre une passerelle réseau sécurisée et des applications de productivité mobile d’entreprise dans une solution complète. ShareFile permet de consulter, de synchroniser et de partager des fichiers, depuis n’importe quel périphérique. L’accès hors ligne maintient les niveaux de productivité même pendant les déplacements des utilisateurs. NetScale s’assure de la sécurité du réseau. Pas de télétravailleur demain sans un espace de travail numérique unifié et sécurisé.
Un livre blanc de Tégé
« C’est parce que les collaborateurs deviennent mobiles, télétravaillent, collaborent grâce à des outils numériques, apportent leur propre mobile ou laptop en entreprise qu’il est devenu impératif d’établir des connexions et des passerelles de communications fluides à l’intérieur de l’entreprise et avec l’extérieur ».
Communications unifiées
La mobilité et la collaboration au cœur des métiers
Pour la société Teach on Mars,
la formation aussi se fait en mobilité
Le smartphone comme assistant d’apprentissage, n’importe où et n’importe quand. Ce jeune spécialiste de la formation en ligne sur mobile, rencontré au dernier salon Paris Retail Week, veut devenir la marque européenne du mobile learning. « L’entreprise propose une plateforme de formation professionnelle pour les collaborateurs aux smartphones. Des formations courtes, ludiques et personnalisés. Un format qui permet par exemple à des vendeurs en magasin, qui n’ont pas de bureau, de se former au fil de l’eau, à leur rythme. Les cours offrent une option multilingue et un suivi de progression. Clarins forme ainsi ses conseillères beauté à l’aide de cette solution, le smartphone étant le seul dispositif qu’elles gardent en permanence sur elles,» explique Sébastien Lasarte, Customer Solutions Manager.
Le boom des tablettes détachables
Qui dit travail en mobilité dit matériel adapté. En France, le marché des tablettes détachables est en forte croissance. Selon IDC, le marché en volume devrait augmenter de 9 % en 2017 à 16 % en 2021. Celui des PC portables devrait rester stable : 44 % en 2017 et 43 % estimé en 2021. Les PC classiques, comme on peut s’y attendre reculent, de 32 % en 2017 à 29 % en 2021. Sur le segment des PC portables dans l’Hexagone, HP, Lenovo et Dell se placent sur le podium sur le premier semestre 2017. Sur celui des tablettes détachables, Samsung, Asus et Microsoft se distinguent. L’OS Windows reste en tête (48 %), suivi par Android (43 %), en hausse de 76 %, et iOS, qui pèse 8 % du marché, en augmentation de 36 %.
BlueMind
s’attaque au couple Outlook Exchange
L’éditeur français de la messagerie collaborative du même nom table sur un chiffre d’affaires en hausse de 30 % en 2018. « Nous avons lancé un plan de croissance de notre force commerciale », explique Pierre Baudracco, BlueMind.
Début septembre, il a recruté José Martinez au poste de vice-président des ventes, et début octobre Pascal Montagne en tant que responsable régional France Nord-Afrique du Nord / responsable opérateurs stratégiques. « Ce recrutement permet d’initier une approche régionalisée du territoire. Sylvain Garcia assure désormais le développement commercial de la moitié Sud des territoires français et africain (Afrique subsaharienne, équatoriale et de l’Ouest. »
Le programme partenaires de BlueMind va également connaître une évolution et sera piloté par Adrien François, responsable des partenaires, intégrateurs et hébergeurs France. « Ce renforcement de la frappe commerciale intervient dans le cadre de notre plan d’accélération.
Nous anticipons ainsi la mise sur le marché de la nouvelle version de notre messagerie prévue en 2018. Elle permettra aux utilisateurs d’Outlook de garder leur client de messagerie favori sans modification de leurs usages quotidiens. Et donc de bénéficier d’une alternative française et Open Source moins chère au serveur de Microsoft.
Ce produit marquera une étape stratégique dans le développement de notre société car BlueMind sera la seule solution à proposer une compatibilité totale avec Outlook », se réjouit le dirigeant.