Partage d’expérience
300 collaborateurs, une implantation en France, aux Etats-Unis et en Australie : le cabinet de conseil et d’expertise en technologies Ippon Technologies a choisi voici plusieurs années G Suite « pour le collaboratif », explique Geoffray Gruel, COO du cabinet. Le cabinet est même l’un des premiers clients des Google Apps payantes en France, assure-t-il. « Si nous n’avions pas eu G Suite, nous ne travaillerions pas aussi bien avec nos équipes distribuées », soutient le dirigeant. « Ce matin même, nous avions une formation sur le domaine de la donnée, avec quatre contributeurs, deux en France, deux en Australie et un aux Etats-Unis, et le travail s’est réalisé de manière limpide ».
Le réflexe ? Hangouts
Hangouts lui semble particulièrement utile. « Aujourd’hui il n’y a plus de conf call téléphone, le réflexe c’est la communication vidéo avec Hangouts, qui est très efficace. C’est comme si vous aviez trois personnes sur un tableau blanc dans la même salle, sauf qu’ils sont tous les trois à des endroits différents ». La collaboration instantanée et le partage d’écran sont devenus indispensables. De quel élément manquant dans G Suite aurait-il besoin ? La fonction sociale. Face à ce manque, l’entreprise a d’ailleurs développé son propre réseau social d’entreprise façon Twitter, « Tatami », qu’elle a mis en Open Source à la disposition de la communauté. Mais aujourd’hui, elle réfléchit sérieusement à utiliser le réseau social d’entreprise de Facebook « à côté de G Suite ».
