Alors que les besoins de numérisation vont croissants, les constructeurs de scanners cherchent à vendre des périphériques tout-terrain. Deux exemples récents avec Kodak et Fujitsu.
Capturer des documents variant du format A1 à A8, accepter des supports de différentes épaisseurs et matières, opérer à haute vitesse, être endurant, faire preuve d’une certaine intelligence de traitement et ne pas tenir beaucoup de place, voilà ce que l’on demande aujourd’hui au scanner de bureau.
Tenus de trouver les meilleurs compromis entre tous ces critères, les concepteurs de scanners enrichissent régulièrement leurs gammes, comme le fait PFU, la filiale de Fujitsu, qui vient de présenter les fi-7460 et du fi-7480 (environ 3 000 et 4 000 euros respectivement), deux scanners de bureau avec chargeur automatique de documents, et conçus pour numériser jusqu’à 80 ppm (160 images A4 recto / verso, paysage, couleurs, 300 ppp). Avec une largeur de 380 mm et une profondeur de 209 mm, ces deux modèles sont les plus compacts de leur catégorie. Ils sont en outre accompagné du logiciel de capture Paperstream.
Chez Kodak Alaris, c’est le scanner i3300 (4 600 euros) qui fait figure de numériseur tout-terrain. Il fonctionne à la vitesse de 70 ppm, intègre la technologie Perfect Page et exploite un module de « protection des documents intelligente » pour prévenir les potentiels endommagements de documents et les pertes de données.