Alors que les marques, comme Intel, Apple, Visa, Amazon, Cisco, IBM, Microsoft, Facebook ou encore Twitter, ont déjà pu enregistrer leur nom de domaine en “.cloud”, au tour des entreprises, professionnels, associations ou particuliers de pouvoir le faire.
A partir du 16 février, la phase de disponibilité générale de l’extension .cloud, alternative aux extensions génériques telles que .com ou .fr, démarre.
Ce lancement public fonctionne sur la base du « premier arrivé, premier servi ». Ce qui signifie que chacun aura la possibilité de déposer autant de noms de domaines qu’il souhaite, quels qu’ils soient, sans aucune limite, restriction ou prérequis.
Le Cloud étant devenu le synonyme de Web, la cible est vaste et touche tout le monde : ceux désireux de démarrer un nouveau projet innovant, ceux voulant faire évoluer leur modèle en jouant sur le concept de Cloud, ou toute personne souhaitant donner une image plus moderne à leur site web, en utilisant un nom de domaine en .cloud.
Rappelons que c’est le fournisseur cloud italien Aruba Cloud qui , en novembre dernier, avait remporté les enchères pour cette extension, mise en vente par l’Icann, l’organisme en charge des noms de domaines Internet. A l’époque, Aruba avait coiffé sur le poteau des géants comme Amazon et Google. En tant que bureau d’enregistrement unique pour l’extension .cloud, c’est Aruba qui assure la commercialisation des noms de domaines à des sociétés tierces et la met aussi à disposition d’autres registrars.
Chez Aruba,les noms de domaine en .cloud seront disponibles à partir de 6,99€ jusqu’au 29 février. Un prix qui couvrira le nom de domaine lui-même, mais aussi la gestion des DNS et redirections et un support gratuit 24/7. De nombreux services additionnels peuvent le compléter, comme des packs d’hébergement avec des applications pour créer son site, son blog ou un forum, des adresses email ou encore des sites e-commerce.