Accueil Cybersécurité Bitdefender lance GravityZone PHASR, qui met en échec les schémas d’attaque reproductibles

Bitdefender lance GravityZone PHASR, qui met en échec les schémas d’attaque reproductibles

Bitdefender renforce la sécurité des endpoints avec sa nouvelle solution : GravityZone PHASR. Il réduit les surfaces d’attaque, atténue les risques inutiles et garantit la conformité.

L’éditeur promet : “Les configurations de sécurité correspondent précisément aux privilèges et aux comportements des utilisateurs et peuvent évoluer de manière à réduire considérablement les surfaces d’attaques.”

GravityZone PHASR réduit les surfaces d’attaque, atténue les risques inutiles et garantit la conformité, cela en analysant les comportements individuels des utilisateurs – utilisation des applications, accès aux ressources, etc. – et en limitant de manière dynamique l’accès à des outils et des privilèges qui sortent du cadre établi par les normes.

Trois avantages sont mis en avant par l’éditeur :

  • Réduction significative des surfaces d’attaques – GravityZone PHASR met en corrélation les comportements des utilisateurs avec les menaces et attaques actives. Cela permet de déterminer la configuration optimale de la surface d’attaque, propre à chaque utilisateur. Les organisations peuvent ainsi réduire la surface d’attaque sans compromettre l’efficacité opérationnelle.
  • Blocage proactif des techniques d’attaques LOTL – GravityZone PHASR restreint l’accès aux fichiers Living-Off-the Land-Binaries (LOLBins) avant leur exploitation, ce qui a pour effet de limiter les risques de violation de données, la lassitude liée aux alertes et les coûts consacrés à la sécurité. Le module permet un durcissement ciblé, qui empêche les utilisateurs d’accéder à des outils et à des ressources dont ils n’ont pas besoin pour effectuer leurs tâches quotidiennes.
  • Mise en échec des schémas d’attaque reproductibles – GravityZone PHASR adapte les moyens de défense à chaque système : il est donc plus difficile pour les attaquants de réutiliser les mêmes techniques dans différents environnements. Lorsqu’ils ont réussi à déjouer un mécanisme de sécurité, les acteurs malveillants ont tendance à reproduire la même méthode. PHASR leur complique la tâche en faisant en sorte que les détections fonctionnent différemment d’un système à l’autre.