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Qu’il circule à l’intérieur ou à l’extérieur de l’entreprise, le document numérisé n’a plus rien à voir avec sa version papier. Pour tirer parti de l’état électronique, les pistes organisationnelles sont multiples et les outils dédiés nombreux. Le simple fait de pouvoir passer du document papier à sa version électronique, et inversement, bouleverse les schémas structurels mais ne remet pas en question la distribution du flux d’informations dans l’entreprise : des documents entrants, une gestion du contenu et des documents sortants. Un modèle commun aux PME comme aux grands comptes et même aux individus pris hors du contexte de l’entreprise, qui, par exemple, gèrent la déclaration électronique de leurs revenus. “L’intelligence d’un document, ce sont les caractéristiques qui lui permettent de traverser ce modèle “input – output”, et cela quel que soit le support sur lequel ce document est présenté”, explique Gérard Dupoirier, ingénieur d’affaires chez Xerox. “On peut ensuite considérer les capacités d’adaptation de ce document, se pencher notamment sur les interfaces de lecture et de communication qui sont proposées. L’exemple de la documentation technique est parlant avec des interfaces qui permettent déjà de lire du texte, de voir de la vidéo et d’avoir un accompagnement sonore. C’est une dimension que l’on va rapidement atteindre dans le domaine du document de bureau”.