Une fois les écueils du choix de l’outil et de l’installation franchis, il reste à… utiliser l’outil en question. Autrement dit, en régler les paramètres d’administration. Or, un DLP, de manière très schématique, ce n’est jamais qu’un firewall filtrant qui fonctionne à l’envers. En d’autres termes, c’est un outil d’analyse de flux qui génère des alertes et déclenche des actions de blocage en fonction de critères définis, de points de consigne et de critères de détection prédéfinis. Plus les règles de filtrage sont strictes, plus les remontées administratives sont lourdes et risquent d’entraver les échanges normaux. Plus elles risquent également de provoquer des réactions allergiques de la part des usagers du réseau. Lesquels chercheront instinctivement à contourner ces mesures de sécurité handicapantes… trop de sécurité tue la sécurité.
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