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Les services de qualité transverses se heurtent à l’hégémonie de certains responsables de développement. Ces derniers considèrent que le développement logiciel est une boîte noire et espèrent toujours avoir plus de temps que prévu pour développer. Tout comme les individus peuvent rencontrer des difficultés à travailler en équipe et préférer la séparation et la distribution individuelle des tâches, les services préfèrent travailler séquentiellement.
Si le suivi qualité n’est pas assuré et les responsables des autres activités du processus non informés, le client demande la livraison de son logiciel alors que ce dernier n’est pas terminé. C’est l’effet “tunnel” qui peut provenir d’un projet de développement au forfait pour lequel il n’y a pas de suivi hebdomadaire de l’avancement. Dans certains cas, le client en arrive à suppléer le maître d’oeuvre en réalisant lui-même les tests !
Les principaux freins à la qualité logicielle engendrés par les organisations sont :
- Les contrats qui limitent les engagements des développeurs
- Les jalons que certains rechignent à décaler
- Les processus non décrits dans lesquels personne ne sait qui fait quoi quand et comment
- La non prise en compte des politiques de qualité par les chefs de projet.
- Le refus d’accepter l’ingérence des services qualité transverses dans les projets de développement
- Les recettes vues comme des projets isolés non inclus dans une stratégie qualité globale.
- Les difficultés de communication dues à l’éloignement des équipes.
- La nécessité de produire des retours sur investissement prévisionnels avant de lancer un cycle d’amélioration du processus de fabrication logiciel.